Attractions d’Athènes – 30 endroits les plus intéressants

La Grèce est un pays ancien qui a connu des hauts et des bas, des centaines de dirigeants, de nations et même de civilisations. Son cœur, sa capitale, Athènes, est plongée dans la verdure l'été sous le soleil brûlant du sud. Les rues et les places de cette ville sont une histoire de l'État aux multiples facettes, parfois complexe. Dans les ensembles de marbre de l'Acropole et de l'Agora, le temps s'est figé. Les échos du Moyen Âge se font entendre dans les cathédrales chrétiennes. La joie et l'hospitalité vivent dans le cœur des Athéniens. Apprenez à mieux connaître la culture de ce pays avec l'aide des habitants, de la cuisine étonnante et des attractions d'Athènes, célèbres dans le monde entier.

Acropole d'Athènes

Ce pays a connu de nombreuses guerres, victoires et défaites. L'Acropole d'Athènes est un monument de ces événements, car son nom est traduit du grec par «forteresse» et les bâtiments eux-mêmes s'élèvent sur une colline rocheuse.

Les temples et sanctuaires construits au IVe siècle av. J.-C. servaient de refuge en cas de guerre. Désormais, l'ensemble du complexe est inscrit sur la liste du patrimoine de l'UNESCO et rencontre chaque jour des centaines de touristes. Cet endroit étonnant vaut le détour même pour ceux qui considèrent les «ruines» comme ennuyeuses et sans intérêt. De majestueuses colonnes de pierre blanche contre le ciel bleu du sud émerveillent par l'élégance des formes et la monumentalité.

Les maîtres de la Grèce antique ont créé leurs chefs-d'œuvre d'architecture pendant plusieurs siècles. L'ensemble architectural est considéré comme l'une des plus grandes forteresses jamais construites dans le pays. Il comprend les temples du Parthénon et de Niki Apteros, les portes couvertes des Propylées et d'autres bâtiments. Le monument historique est actuellement en reconstruction.

Les visiteurs peuvent également être surpris par le fait que les sculptures ne sont pas des originaux, mais seulement leurs copies exactes. De vraies sculptures sont conservées sous la supervision de scientifiques dans divers musées du monde et sont protégées par des scientifiques des effets destructeurs de l'environnement.

La ville antique est située à proximité de la civilisation moderne. Vous pouvez vous y rendre par différents transports en commun, le plus simple est de prendre le métro en descendant à la station du même nom. Ici, la modernité bruyante est brusquement remplacée par la grandeur de l'antiquité. Il vaut mieux visiter l'Acropole d'Athènes en début de journée, car il n'y a pratiquement nulle part où se cacher du soleil brûlant sur le plateau. Et la plupart des touristes arrivent généralement ici plus près du dîner. L'entrée sur le territoire s'effectue tous les jours de 8h à 18h. Selon les vacances et la saison de l'année, ce temps peut varier.

Un billet par personne ne coûtera pas plus de 20 euros. Le prix comprend quelques autres attractions. Sa durée de validité est de 4 jours. Les jeunes de moins de 18 ans entrent gratuitement. Vous pouvez également vous y rendre dans le cadre d'une excursion, mais les guides russophones gonflent souvent les prix de manière déraisonnable. Un audioguide ou un topo guide seront utiles pour ceux qui ne souhaitent pas seulement voir les monuments de l'antiquité.

Faites le plein d'eau: le prix de celle-ci augmente fortement à mesure que vous approchez du monument architectural. Les souvenirs et autres petites choses peuvent être achetés au pied de la colline: ils y sont beaucoup moins chers. Ennuyés parmi les ruines, les touristes peuvent regarder le marché central d'Athènes. Il est situé à proximité et contraste agréablement avec sa vivacité.

Parthénon

La place centrale dans l'ensemble architectural de la colline de l'Acropole est occupée par le temple de la déesse Athéna Parthénos. Ce bâtiment est l'un des plus reconnaissables et visités par les touristes au monde. En effet, qui n'a pas vu au moins une fois dans sa vie une photographie de ces colonnes parfaitement droites? Et pour beaucoup, ce n'est un secret pour personne qu'ils ne sont pas du tout hétéros.

Le Parthénon est devenu le couronnement des architectes, sculpteurs et artistes de cette époque. Le lieu de construction du temple a été choisi de manière à ce que le bâtiment soit le prolongement d'une colline naturelle et, en s'en approchant, il «grandit» progressivement.

En raison de l'emplacement des colonnes sous un certain angle, en les regardant du côté de l'entrée principale, il voit le temple en volume, c'est-à-dire 3 murs à la fois. La courbure de la plupart des lignes crée une illusion d'optique, grâce à laquelle elles apparaissent toutes parfaitement uniformes. Les éléments répétitifs de l'architecture du sanctuaire lui confèrent une harmonie et une grâce particulières.

Construit un chef-d'œuvre de l'architecture de marbre blanc. Au fil du temps, sous l'influence de la lumière du soleil, le côté sud du complexe du temple a acquis une teinte dorée et le côté nord est devenu violet. Arrêtez-vous et regardez de près le Parthénon. N'oubliez pas que vous ne pouvez pas le toucher avec vos mains, mais vous pouvez prendre des photos en toute sécurité. Regardez de plus près les sculptures de la colonnade. Ils ont été créés sous la direction de Phidias, et de nombreux détails de cette décoration se trouvent maintenant dans divers musées du monde.

Théâtre de Dionysos

Au sud-est de l'Acropole d'Athènes, il y a un autre monument de compétence architecturale et d'amour pour l'art des anciens Grecs. Visitez cet endroit pour crier et chanter pour une expérience. L'acoustique étonnante de l'amphithéâtre permet d'entendre parfaitement l'orateur parler sur scène même au spectateur le plus éloigné. Dans l'Antiquité, des spectacles étaient montrés dans ce lieu, l'art théâtral, classique dans notre compréhension, est né et glorifié.

Initialement, le bâtiment était en bois, mais au fil du temps, il a été reconstruit, en marbre. Le théâtre n'a jamais eu de toit, donc toutes les festivités se déroulaient en plein air. L'auditorium pouvait accueillir environ la moitié des habitants de l'Athènes antique, soit 17 000 personnes.

La rangée la plus proche de la scène était destinée aux invités d'honneur et comprenait 67 places. Pour leur fabrication, un type de marbre coûteux et extrêmement rare a été utilisé. Sur les places survivantes de la première rangée, vous pouvez voir des noms gravés. Sous le règne des empereurs romains, le théâtre a été reconstruit pour les combats de gladiateurs, équipant les premiers rangs de pare-chocs et de barres de fer. Une frise représentant des satyres est également apparue ici. Après avoir servi les gens pendant environ 5 siècles, le bâtiment a été abandonné. Il n'y a pas si longtemps, il a été restauré, ainsi que d'autres objets de l'Acropole.

Bibliothèque d'Hadrien

Dans les colonnes délabrées sur le territoire de l'Acropole athénienne, une bibliothèque peut à peine être devinée maintenant. Dans les temps anciens, ce monument a été construit à la gloire de la sagesse humaine. Il y avait un dépôt de nombreux manuscrits, des salles de conférence et de lecture et un jardin avec des fontaines dans la cour. À l'intérieur du bâtiment spacieux, décoré de statues d'or et de marbre, on pouvait se cacher de la chaleur et de l'agitation du monde.

Le bâtiment a servi de bibliothèque pendant pas plus d'un siècle. Pendant deux siècles et demi, il fut reconstruit à plusieurs reprises et changea de destination. Seul le mur ouest nous est parvenu, qui était à l'origine en marbre. En 2004, il a subi une restauration et a été ouvert aux touristes. Comme toutes les ruines grecques, la bibliothèque d'Andriana mérite l'attention, ne présentant qu'un fragment d'une structure monumentale. On ne peut que deviner à quel point cette création architecturale était magnifique et grandiose, si même une petite partie de celle-ci suscite l'admiration de beaucoup.

Odéon d'Hérode Atticus

Il y a 2 théâtres à Athènes sur la colline de l'Acropole. Et si le théâtre de Dionysos fascine par son ampleur, l'odéon d'Hérode Atticus attire le public par son histoire romanesque et ses diverses représentations se déroulant aujourd'hui en plein air. Un bâtiment indépendant est situé au sud de l'Acropole. Il a été construit bien plus tard que d'autres dans cet ensemble architectural: au IIe siècle de notre ère. L'idée d'ériger un odéon et des fonds appartenait au philosophe et orateur Hérode Atticus, qui dédia cette création à sa jeune et belle épouse décédée.

Le monument architectural est bien conservé. Seuls le toit et les statues de marbre dans les niches du mur derrière la scène sont perdus. Au milieu du XXe siècle, l'amphithéâtre de l'auditorium et la scène sont restaurés afin de réunir à nouveau les amateurs de musique et d'art théâtral. Pendant un demi-siècle, l'odéon a accueilli le Ballet du Bolchoï, le ténor Andrea Bocelli, Elton John et de nombreuses autres célébrités. Jusqu'à 5 000 personnes peuvent être ici en même temps.

L'entrée à l'odéon d'Hérode Atticus est limitée. Vous pouvez entrer à l'intérieur lors de spectacles et de festivals qui ont lieu chaque année de juin à septembre. Les billets doivent être pris à l'avance. Le moyen le plus simple de se rendre au théâtre est de prendre le bus numéro 230. L'arrêt se trouve en face de l'entrée principale. La magnifique architecture romano-grecque peut être admirée du haut de la colline, se rapprochant du Parthénon.

ancienne agora

L'Agora d'Athènes est la place centrale de la vieille ville. Ici, dans les temps anciens, les événements sociaux et politiques les plus importants de la capitale grecque ont eu lieu. En importance, cet endroit était le deuxième après l'Acropole. Sur une superficie de 5 hectares au pied de la colline de l'Acropole, il y avait un centre administratif, des temples, un théâtre, une bibliothèque, des plates-formes pour diverses discussions, réunions et procès. Le plus animé était, bien sûr, le marché. Toutes sortes de marchandises ont été apportées ici de différents pays: des choses nécessaires à la vie quotidienne aux bibelots coûteux et extravagants.

Aujourd'hui, l'agora d'Athènes est principalement associée au quartier commerçant de Monastiraki. Des foires ont lieu dans ses rues tous les dimanches. Ce mélange de Moyen Âge, de folklore grec et de modernité attire les voyageurs avec l'opportunité de se plonger dans la culture du pays, dans sa vie quotidienne. Des cafés et des bars sont situés à proximité. N'hésitez pas à entrer dans l'un d'eux. Les Grecs sont hospitaliers, leurs portions sont donc riches et ils font souvent un compliment aux visiteurs sous la forme d'un verre de vin ou d'un dessert. Vous pouvez vous y rendre en métro, en atterrissant aux stations Fision ou Tezeion.

Les monuments survivants de l'architecture grecque, qui faisaient autrefois partie du complexe de l'agora, peuvent être visités avec un abonnement à l'Acropole pour moins de 20 euros. Le pass est valable 4 jours, pendant lesquels vous pourrez vous déplacer dans presque tous les sites architecturaux d'Athènes. Sur le territoire de l'agora, vous verrez plusieurs temples, l'odéon d'Agrippa, la menthe et la position reconstituée d'Attale. Ce dernier est un monument de l'architecture ancienne en soi. Également dans cette galerie se trouve le musée Agora.

Temple d'Héphaïstos

Les ruines de l'Acropole sont décourageantes, confirmant l'idée que le temps n'épargne même pas une pierre. Le temple d'Héphaïstos, construit dans le cadre de l'agora, est peut-être le mieux conservé de tous les monuments antiques d'Athènes. Les principaux éléments du bâtiment sont intacts, seulement à certains endroits le toit et l'intérieur du temple ont été endommagés.

Cet ancien bâtiment est comparable dans sa grandeur au Parthénon et est dédié au patron du feu et de la forge, Héphaïstos. Les deux temples ont été construits à la même époque et leur architecture est de style dorique. Cependant, le temple d'Héphaïstos fut la première création d'architectes à Athènes, construit en marbre. Au XIIe siècle, le sanctuaire est allé à l'église chrétienne, qui l'a sauvé de la destruction. Elle était appelée l'église Saint-Georges jusqu'en 1834, date à laquelle elle était le monument architectural national de la Grèce.

Le monument est situé au centre d'Athènes. Vous pouvez vous y rendre en transport souterrain et terrestre. Vous devrez descendre du métro à St. Thisiou”, ou utilisez la ligne de bus numéro 227. Une visite du monument national est incluse dans le prix de la visite de l'Acropole. De novembre à mars, tous les dimanches, le temple est ouvert à tous gratuitement. Bien que ce jour-là, il soit plus agréable de regarder la foire de l'agora: il y a beaucoup de monde, mais il y a plus d'espace.

Tour des vents

Dans une agora ouverte et bien aérée se trouve la Tour des Vents. L'édifice en marbre blanc, haut de 12 mètres, a la forme d'un octogone régulier, qui correspond à 8 vents divins. Un autre nom pour ce monument architectural est la “Tour de l'Horloge d'Andronicus de Kirr” ou “Horloge de Kirrist”. Andronic de Kirr était astrologue. Selon le plan, le bâtiment était censé s'élever au-dessus de la ville afin que la girouette indiquant la direction du vent et le cadran solaire sur le toit soient visibles de n'importe où. En plus de déterminer l'heure par le soleil, les Grecs utilisaient un chronomètre hydraulique parfaitement précis situé à l'intérieur du bâtiment. La tour était d'une grande importance pour les citadins, car c'était le centre météorologique et astrologique d'Athènes.

Actuellement, les préparatifs sont en cours pour la reconstruction de la tour. Par rapport à d'autres monuments architecturaux d'Athènes, il a été bien conservé, mais son revêtement extérieur et ses voûtes intérieures sont constamment détruits. L'emplacement central du bâtiment dans la vieille ville le rend facilement accessible aux touristes. La zone de Plaka, où se trouve la Tour des Vents, est accessible par n'importe quel transport en commun jusqu'à la gare de Monastiraki. Le monument est ouvert à la visite tous les jours, sauf jours fériés, à partir de 8 heures du matin. Pendant la saison touristique, il ferme à 19h, le reste de l'année à 15h. Le droit d'entrée est inclus dans le pass Acropole. Inspection de la tour avec

Agora ne coûtera que 3 euros.

Ruines éleusiniennes

Le bruit créé par des centaines de touristes dans l'Acropole ou l'Agora peut détourner l'attention de l'étude de la culture ancienne. Dans la banlieue d'Athènes, les ruines de la ville sacrée d'Eleusis sont confortablement implantées. Dans l'Antiquité, la capitale de la Grèce y était reliée par une route le long de laquelle s'étirait chaque année un cortège de pèlerins dédié à la déesse Déméter et à Perséphone. Tout le mystère s'est terminé dans le temple principal de Déméter avec des rites secrets, sur lesquels leurs participants n'avaient pas le droit de se développer. Mais quiconque parlait grec pouvait y participer. Même les esclaves étaient autorisés à accomplir des rites sacrés.

Les archéologues affirment que les premiers édifices sacrés ont été réalisés dès le XVe siècle av. Il ne reste plus de structures monumentales particulièrement importantes dans cette vieille ville. Les amoureux de l'antiquité viennent ici pour s'unir à l'antiquité, car les ruines éleusiniennes sont autorisées non seulement à regarder et à photographier, mais à les toucher.

À Eleusis, sur la côte de la baie, se trouve un musée archéologique. Ses expositions sont des produits céramiques, des œuvres architecturales et sculpturales. Tous reflètent les événements des mystères éleusiniens. Le musée reçoit les visiteurs tous les jours, sauf les lundis et jours fériés, de 8h30 à 15h00. Le billet d'entrée coûte 3 euros. Le bus Megara dessert les ruines d'Eleusis. Le point de départ de son parcours est la station de métro “Thissio”. Il y a aussi une gare à proximité de la ville.

Temple de Zeus Olympien

De nombreux empereurs rêvaient de créer quelque chose qui perpétuerait leur nom. Ainsi, Pisistrat a jeté les bases de la construction du temple de Zeus, qui, selon ses idées, devait devenir le plus grand temple parmi ceux existants. Les Grecs grommelèrent, ne voyant dans le monument qu'une manifestation des caprices du tyran au pouvoir. Pour cette raison et d'autres, le bâtiment a été érigé pendant 6 siècles et il n'en restait que 3. 16 colonnes nous sont parvenues, dont 14 forment le coin du temple de l'ancien temple majestueux de Zeus Olympien. Le bâtiment était d'une taille impressionnante.

Hauteur – mètres 17, longueur 96 mètres, largeur 40. Les historiens disent que la statue principale de Zeus a été fabriquée par des artisans en or et en ivoire, tout comme la statue d'Athéna au Parthénon. Les deux originaux de ces créations sont perdus à jamais.Le monument de l'antiquité est situé près de l'Acropole et de la station de métro du même nom. Vous pouvez également vous y rendre par transport terrestre. L'heure de visite des ruines n'est pas différente de beaucoup d'autres dans la ville: tous les jours de 8h à 19h en été et jusqu'à 17h en hiver.

Musée Archéologique

Par temps particulièrement chaud ou, au contraire, pluvieux, la connaissance des monuments de l'architecture grecque antique ne peut apporter que de l'inconfort. Dans ce cas, une immersion complète dans la culture de l'Antiquité est possible au Musée Archéologique National. On peut à juste titre l'appeler le principal dépositaire de la culture grecque. Les expositions du musée archéologique d'Athènes comprennent plus de 20 000 pièces de toutes les époques de l'État. Il contient presque les plus riches collections de sculptures et de céramiques au monde.

Le bâtiment du musée est si grand qu'il est possible de se perdre dans ses galeries. Pour une vue même non détaillée de toutes les salles, il faut une journée entière. Mais ce n'est pas grave, car le billet est valable toute la journée. Il est permis de sortir et d'entrer à nouveau. Il est possible de transférer le ticket d'entrée à un autre visiteur, même si le coût est déjà faible: 7 euros par personne. L'entrée pour les moins de 18 ans est entièrement gratuite. Le musée est fermé le lundi et les jours fériés. Le dimanche, la journée de travail est courte et se termine à 15 heures. Les autres jours, les visiteurs sont attendus de 8h à 20h.

Monastère de Daphné

En Grèce, outre les monuments de la culture antique, il existe également de nombreuses créations architecturales héritées d'autres époques. Ainsi, le monastère de Daphni représente l'architecture byzantine. L'emplacement mystique a laissé sa marque sur le destin de la structure. Le complexe chrétien a été érigé au 6ème siècle après JC sur la route d'Athènes à Eleusis dans un bosquet de lauriers sur le site de l'ancien temple grec détruit d'Apollon.

Certains des fragments restants de l'ancien sanctuaire n'ont pas été démolis, mais recouverts de nouveaux murs. Au cours de plusieurs siècles, le monastère s'est achevé et développé. Les œuvres les plus importantes et les plus importantes ont été réalisées aux XIe et XIIe siècles, lorsque le temple principal a été décoré des célèbres mosaïques byzantines. Ses fragments ornent encore les voûtes du sanctuaire, et la tête haute on peut voir le visage du Christ sous la coupole.

Le monastère de Daphné est un site du patrimoine mondial de l'UNESCO. En 1999, il a été gravement endommagé par un tremblement de terre, après quoi il a été temporairement fermé pour travaux de reconstruction. Désormais, le temple est ouvert aux visiteurs deux fois par semaine pendant l'été, les jeudis et vendredis de 9h à 14h. l'entrée est gratuite. Vous pouvez vous rendre au monastère de 2 façons: soit depuis la station de métro Daphné, appelez un taxi ; ou depuis le centre-ville pour monter dans les bus empruntant les lignes n° 880 et n° 860. Non loin du lieu sacré se trouve un hôpital psychiatrique du même nom, donc pour les Grecs, «aller chez Daphné» signifie «devenir fou ».

Elle a pleuré

L'endroit où l'histoire séculaire d'Athènes a commencé s'appelle Plaka. La zone qui s'étend à l'est et au nord de l'Acropole porte le nom d'une dalle de pierre trouvée dans l'église Saint-Pierre. Georges d'Alexandrie. Aujourd'hui, la zone centrale de la ville est un labyrinthe de rues sinueuses, de restaurants chaleureux de cuisine nationale grecque, de caves à vin, de boutiques de souvenirs et d'un marché aux puces populaire. C'est ici que se concentrent les sites les plus célèbres de différentes époques:

En visitant la pittoresque Plaka, vous vous retrouverez dans la capitale de la Grèce, telle qu'elle était au tournant des XVIIIe et XIXe siècles. Les bâtiments néoclassiques qui remplissent l'ancien quartier sont apparus après un violent incendie en 1884. La fondation pour eux était les restes de bâtiments des temps anciens.

Agora

Retour en 594 av. e. Agora était le “premier violon” de la ville, étant son centre religieux, administratif, politique et culturel. Ici, dans le majestueux temple d'Héphaïstos, les dieux des arts et de l'artisanat ont été chantés et des spectacles musicaux ont eu lieu dans l'Odéon d'Agrippa. La voie panathénaïque traversait l'ancienne place, le long de laquelle, lors de l'honneur de la sage guerrière Athéna, patronne de la ville, des processions solennelles se rendaient à l'Acropole.

Aujourd'hui, les bâtiments autrefois monumentaux de l'Agora sont en ruines. Les édifices les mieux conservés sont le grandiose temple d'Héphaïstos, dont les colonnes doriques soutiennent encore la voûte, l'église des Saints-Apôtres, apparue au Xe siècle et restaurée en 1956 par la Stoya du roi de Pergame Attale.

Vous pouvez visiter des reliques anciennes tous les jours (sauf les week-ends et les jours fériés) :

Entrée – 8 euros.

Attala debout

Les anciens habitants de Hellas appelaient les colonnades couvertes érigées devant les temples, les marchés et les maisons debout. Une telle galerie a été construite comme un cadeau sacré à Athènes par le roi de Pergame Attale II, dont le règne est tombé sur 159-138 av. e. L'édifice grandiose en calcaire et marbre du Pentélien, long de 115 m et large de 20 m, qui servait de lieu de commerce et de promenades tranquilles, fut détruit en 267 par l'ancienne tribu germanique des Hérules.

L'aménagement moderne, reproduisant exactement l'aspect de la relique détruite, a été réalisé en 1950 sur quelques fragments des murs d'origine. Aujourd'hui, le bâtiment de deux étages abrite un musée. Vous y trouverez des détails de décors anciens, des vestiges de colonnes, des sculptures, des amphores, des objets en argile, en verre et en bronze, des collections de monnaies, des bijoux et des figurines de genre. La découverte de la collection est comprise dans le prix de la visite de l'Agora (8 €).

Kerameykos

L'ancienne nécropole est le lieu de sépulture de la noblesse, apparue au XIe siècle av. e., – était situé à l'intersection des routes principales menant de la banlieue. Jusqu'à présent, vous pouvez voir les vestiges des célèbres portes de la ville: Dipylon, qui servait d'entrée officielle aux Athéniens, et Sacred, par laquelle passaient les processions religieuses. En marchant le long de sentiers isolés, vous vous familiariserez avec les résultats des fouilles archéologiques qui ont commencé en 1870 et se poursuivent encore aujourd'hui.

Les principaux objets du cimetière: une statue de 2,10 mètres sculptée par le sculpteur Dipylon, une figure en marbre d'un taureau dominant la tombe de Denys et les ruines de Pompeion, un bâtiment utilisé pour stocker des reliques sacrées. Après avoir visité la “cité des morts”, vous pourrez visiter le musée de la céramique. Ses salles sont remplies d'artefacts anciens: sculptures, décorations en céramique et articles ménagers.

Musée byzantin

L'une des collections d'art les plus riches, comprenant 25 000 expositions reflétant l'art chrétien et byzantin des IIIe-XXe siècles, se trouve à l'adresse suivante: rue Leoforos Vasilissis Sofias, 22. Le fondateur du musée, créé en 1884, était un particulier collectionneur-théologien Georgios Lampakis. Initialement, ses trésors ont été exposés à l'Académie d'Athènes, et en 1930, ils se sont installés dans un nouveau bâtiment.

L'exposition comprend deux parties. En visitant le premier d'entre eux, vous assisterez à l'épanouissement de l'art byzantin aux IVe-XVe siècles. et familiarisez-vous avec des icônes en bois uniques, des stèles de marbre, des sculptures, des mosaïques, des fresques. La deuxième exposition concerne les expositions des XVe au XXe siècles, qui éclairent l'église et la vie quotidienne des chrétiens: les robes du clergé, les bijoux et les articles ménagers.

Le musée est ouvert de 8h00 à 20h00 (du mardi au dimanche). Le prix du billet est de 8 € (plein) et 4 € (réduit).

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Musée militaire

L'édifice en pierre, construit en forme de cube, est en dissonance avec les constructions anciennes inhérentes à l'aspect de la capitale. Cependant, il attire également de nombreux touristes qui souhaitent se familiariser avec les armes et équipements militaires de différentes époques – de l'Antiquité à la Seconde Guerre mondiale. Les plus grandes expositions de la collection sont exposées sur le territoire adjacent – canons et avions, parmi lesquels le jet américain Starfighter E104 et le chasseur bimoteur Nortrop F-5 des années 70 du XXe siècle présentent un intérêt particulier.

Le bâtiment, construit en 1975 à l'intersection de Rizari, 2 et Vassilissis Sophias Av., rencontre les touristes avec une collection de récompenses militaires et d'uniformes de l'armée grecque. Le fleuron du musée est une exposition d'armes blanches du Moyen Âge, des maquettes de voiliers militaires de l'époque de l'invasion turque et des toiles représentant des batailles. Les expositions sont visibles du mardi au vendredi de 9h00 à 14h00. Le week-end, le musée ouvre 30 minutes plus tard. Prix ​​du billet – 3 € (préférentiel – 1,5 €).

Musée des Cyclades

Des artefacts mystérieux des siècles passés vous rencontreront dans le musée, ouvert en 1986 et axé sur la connaissance des visiteurs avec l'art des civilisations passées – les terres baignées par la mer Égée. L'accent de cette collection unique est placé sur des objets illustrant la vie des habitants des îles des Cyclades, situées au sud-est de la côte grecque. L'âge des expositions auxquelles le deuxième étage du manoir confortable est dédié est le III-II millénaire avant JC. e. La perle de l'exposition est constituée de figurines d'idoles féminines sculptées dans du marbre. Des expositions temporaires sont organisées au premier étage. Au troisième étage, vous trouverez des œuvres d'art de l'ancienne Hellas, et le quatrième étage présente les trésors de la culture chypriote du 4ème siècle avant JC. e. jusqu'au Moyen Age.

Adresse: Neophytou Douka, 4. Les expositions peuvent être vues tous les jours de 10h00 à 17h00 (le jeudi – jusqu'à 20h00). Jour de congé – mardi. Une visite vous coûtera 7 € (billet complet) et 3,5 € (préférentiel).

Musée Benaki

Vous pouvez vous rendre au musée de 9h00 à 17h00 (mercredi, vendredi), de 9h00 à minuit (jeudi, samedi) et de 9h00 à 15h00 (dimanche). Prix ​​du billet d'entrée: plein 9 € et réduit 7 €.

Temple de Niké Apteros

Un monument de l'art grec classique exhibe un petit temple sur le territoire de l'Acropole, construit vers 427 av. e. pendant la guerre du Péloponnèse. Les Athéniens, rêvant d'un triomphe imminent sur Sparte vaincue, ont placé une statue en bois de Niké dans le sanctuaire. En Grèce, la déesse de la victoire était toujours représentée avec des ailes dans le dos. Mais les habitants, qui voulaient que le céleste reste à jamais dans la ville, ont privé la statue de ses attributs traditionnels.

À ce jour, le temple d'Apteros (sans ailes), dominant sur une base à trois étages, est descendu presque dans sa forme originale. Après la dernière restauration en 2000, l'élégant édifice en pierre, long de 9,56 m et large de 6,8 m, est encore orné de colonnes ioniques et de reliefs représentant des batailles militaires. Le temps n'a pas épargné seulement quelques colonnes avant et le toit de la structure.

Croiseur Georgios Averof

Il reste très peu de navires sur la planète qui ont sillonné les mers pendant la Première Guerre mondiale. L'un d'eux est le vaisseau amiral de combat, le croiseur Georgios Averof, construit au chantier naval italien de Livourne et vendu à la Grèce en 1910. Au cours de son histoire séculaire, le navire de guerre, dont l'image est représentée aujourd'hui sur une miniature postale, a traversé 5 guerres et changé de nombreux capitaines.

Depuis 1985, le légendaire croiseur est amarré pour toujours dans le port de la banlieue athénienne de Paleon Faliron. Il y a un musée à bord. Au lieu de salles d'exposition, il y a des cabanes dont l'équipement est conservé depuis le début du XXe siècle. Les visiteurs peuvent découvrir à quoi ressemblait la machine à vapeur, les conditions dans lesquelles vivaient les marins et de quel type de mobilier les cabines des officiers étaient équipées. “Georgios Averof” est ouvert aux touristes de 9h00 à 14h00 (du mardi au vendredi) et de 10h00 à 17h00 le week-end. Entrée – 2 euros.

Académie des sciences d'Athènes

En 385 av. e. L'Académie de Platon a été fondée, qui est devenue l'ancêtre de l'institution de recherche moderne – l'Académie d'Athènes, dont l'activité principale est l'étude de l'art, des sciences naturelles, de la morale et du droit. Pour les touristes, l'Académie nationale est intéressante principalement pour son architecture. Construit en 1887, le corps de logis, dont la façade est ornée d'une colonnade ionique à fronton triangulaire et d'un portique, est un exemple du style néoclassique.

Des deux côtés du bâtiment, qui ressemble à un temple antique, s'élèvent des colonnes couronnées des figures d'Athéna et d'Apollon. A l'entrée, tous ceux qui veulent faire partie du monde scientifique sont accueillis par des statues de Socrate et de Platon. Les intérieurs sont décorés de peintures reflétant les mythes et l'histoire de l'ancienne Hellas.

Église de Panagia Kapnikareya

Entouré par les rues centrales animées, parmi l'agitation, il y a une oasis de silence et de tranquillité – une église byzantine construite en l'honneur de la Vierge Kapnikareya. Le temple, construit au XIe siècle, a été fondé sur les ruines d'une basilique encore plus ancienne. Les chapiteaux intégrés, les inscriptions latines et les éléments de sculpture rappellent l'ancien bâtiment.

Le style architectural de l'église de Panagia Kapnikarei se caractérise par un dôme croisé. La structure, créée à partir de briques taillées spéciales, comprend trois bâtiments, harmonieusement reliés entre eux par des arcs et des colonnes. Du côté nord, une chapelle dédiée au Grand Martyr Varvara a été ajoutée. Le temple doit son intérieur au peintre grec Fotis Kondoglu. Son œuvre la plus célèbre est l'icône de la Mère de Dieu avec l'Enfant, un objet de culte pour des centaines d'orthodoxes qui visitent la Sainte Maison, qui fonctionne toujours à ce jour.

Aréopage

Vous pourrez admirer la magnifique ville et prendre les meilleures photos des curiosités d'Athènes en escaladant la colline située au nord-ouest de l'Acropole. Un escalier taillé dans la pierre mène à son sommet lisse. Selon la légende, le premier procès a eu lieu ici, au cours duquel le souverain des mers, Poséidon, a accusé le militant Ares d'avoir tué son fils. Pour ceux d'entre vous qui connaissent les Actes des Apôtres, l'Aréopage est connu comme le lieu où saint Pierre s'est adressé aux païens avec un discours sur le “Dieu inconnu”.

Dans l'Antiquité, ce rocher suscitait respect et admiration chez les Athéniens. Jusqu'au Ve siècle av. e. la falaise rocheuse a servi de lieu de réunion à un puissant conseil des anciens, qui a un pouvoir incontesté et émet des verdicts sur les questions religieuses, civiles et politiques. Plus tard, l'Aréopage a été privé d'une partie de ses prérogatives, ne laissant à sa juridiction que l'examen des affaires pénales.

Colline des Muses

Une autre plate-forme d'observation à partir de laquelle s'ouvre un panorama circulaire à couper le souffle sur Athènes est la Colline des Muses de 147 mètres. Un chemin bordé de pierres mène à son sommet, serpentant à l'ombre des pins méditerranéens. En plus de la belle vue, les voyageurs peuvent également s'attendre à des sites historiques ici: un monument au prince du royaume de Commagen – Philopappos, une grotte artificielle “Prison de Socrate”, où, selon la légende, le philosophe a été forcé de boire mortellement poison, et l'église actuelle de Saint-Dmitry, construite au XVIe siècle.

Les touristes expérimentés recommandent de gravir la colline au coucher du soleil. En appréciant le chant des cigales et en inhalant l'arôme de nombreuses fleurs, vous verrez une image époustouflante. Plongeant lentement dans l'obscurité, la ville illumine une à une les lanternes, mettant solennellement en valeur des monuments architecturaux inestimables sur le ciel noir.

jardin national

Visiter ce parc est comme une bouffée d'air frais parmi les belles ruines et les bâtiments historiques dépourvus de verdure. Un coin pittoresque est apparu au centre d'Athènes en 1840 sur ordre d'Amalia d'Oldenbourg, l'épouse du roi Otton Ier. Le projet a été confié à Friedrich Schmidt, un jardinier de Prusse. La reine a également contribué à la création du jardin – le sablier qu'elle a conçu à ce jour (bien qu'avec des défauts) indique l'heure.

Aujourd'hui, sur le territoire de 15,5 hectares, règne une atmosphère de silence et de paix. Les agrumes exhalent un parfum délicat, les bancs et tonnelles ombragées invitent à la détente, les fontaines et bassins décoratifs donnent de la fraîcheur. Le Jardin National sert de refuge aux représentants de la faune: oiseaux, tortues, animaux domestiques. Il y avait aussi une place pour les ruines athéniennes traditionnelles, les mosaïques et les éléments des colonnes corinthiennes.

Mont Lycabette

Le nom de la montagne, se précipitant vers le ciel parmi les quartiers centraux, se traduit par “colline du loup”. Dans les temps anciens, dans des forêts denses envahies de cyprès et de pins, des meutes de loups vivaient, gardant le sanctuaire – le temple de Zeus, situé tout en haut. À l'époque de l'invasion ottomane, les Turcs ont conquis et brûlé toutes les plantes qui couvraient les pentes douces. La restauration de la flore n'a commencé qu'en 1880.

Vous pouvez gravir la montagne, qui s'élève à 277 mètres au-dessus de la zone de Kolonaki, à la fois à pied, en vous reposant sur de nombreux bancs le long du chemin, et sur le funiculaire qui remonte le tunnel creusé à l'intérieur de la colline. En plus des vues magnifiques qui s'étendent jusqu'à la mer, la chapelle blanche comme neige de Saint-Georges, un restaurant, un café avec une véranda et des boutiques de souvenirs attendent les voyageurs au sommet. Un peu plus bas se trouve un théâtre ouvert. En été, des performances et des concerts colorés ont lieu sur sa scène.

Érechthéion

Aucun objet architectural ne caractérise mieux la célèbre Acropole que les colonnes ioniques et les figures féminines en marbre – les cariatides, qui servent de support au toit d'une structure prête à rivaliser de renommée avec le légendaire Parthénon. Et si ce dernier était un temple “du peuple”, alors l'Érechthéion, qui regroupait plusieurs sanctuaires, remplissait des fonctions sacrées. Ici, les prêtres accomplissaient les sacrements religieux et adoraient les habitants de l'Olympe.

L'Érechthéion a été construit au 5ème siècle avant JC. e. Selon la légende, les travaux de construction ont été précédés d'une querelle entre Poséidon et Athéna. Les deux célestes ne pouvaient pas décider lequel d'entre eux devrait posséder la grande ville. Le temple a reçu son nom en l'honneur du roi Erechtheus. Au fil des siècles, elle a connu plusieurs reconstructions globales, de sorte que l'aspect d'origine est aujourd'hui presque inconnu. Aujourd'hui, la structure est un bâtiment de forme irrégulière divisé en deux, érigé sur une fondation de 23,5 x 11,6 m.

Stade Panathinaïkos

En 566-565 avant JC e. Le stade, dont les tribunes sont en marbre blanc du mont Pendelikon, a accueilli les premiers Jeux olympiques de l'histoire de la planète. Pour eux, toutes les guerres mondiales ont été suspendues. Le bâtiment grandiose en forme de fer à cheval a été érigé en 329 av. e. Ses vestiges ont été découverts lors de fouilles archéologiques au milieu du XIXe siècle.

La conception du Panathinaikos diffère des stades actuels. En particulier, les tapis roulants perdent en longueur par rapport aux “pistes” modernes. Aujourd'hui, encadrant l'arène ovale (superficie – 6 784 m2), les tribunes peuvent accueillir environ 80 100 personnes. En 2004, les Jeux olympiques ont de nouveau eu lieu ici. Un endroit pittoresque parmi les collines athéniennes est rempli quotidiennement par des centaines de touristes. Les plus curieux visitent le Musée olympique souterrain, caché derrière des barreaux en fer forgé. De plus, Panathinaikos sert de lieu de concerts en plein air.