L'ancienne ville avec une longue histoire est située sur la Volga et est la capitale de la République du Tatarstan. Il a conservé de nombreux monuments du patrimoine culturel, des structures architecturales uniques. L'ensemble majestueux du Kremlin de Kazan est devenu la marque de fabrique de la ville.
La seule succursale russe du célèbre “Ermitage” de Saint-Pétersbourg opère dans la ville. Les portes du plus grand trésor d'art ont été ouvertes au Musée des Beaux-Arts du Tatarstan, etc. Pour se familiariser avec la ville, il est proposé de visiter les musées de Kazan de notre liste.
Kremlin de Kazan
Le Kremlin de Kazan peut à juste titre être considéré comme le cœur non seulement de la ville, mais de toute la République. Les traditions culturelles tatares et russes coexistent parfaitement sur son territoire, et les dômes de la cathédrale de l'Annonciation coexistent avec les minarets de la mosquée Kul-Sharif.
Il existe de nombreux objets architecturaux sur le territoire du Kremlin qui méritent l'attention. Une connaissance détaillée prendra plusieurs jours, mais un aperçu rapide avec un guide tient dans 1,5 heure. Alors, à quoi devez-vous faire attention en premier lieu ?
Si vous avez la chance d'être à Kazan par beau temps, vous devez absolument vous promener sur le territoire et jeter un coup d'œil à la tour inclinée Syuyumbike, à la cathédrale et à la mosquée mentionnées ci-dessus, au monastère de la Transfiguration, au palais du gouverneur.
Cependant, ne vous inquiétez pas s'il pleut dehors. Et dans une telle situation, la connaissance des valeurs architecturales peut être remplacée par un voyage dans les musées du Kremlin et se familiariser avec des expositions consacrées à la culture islamique, à l'histoire de la république, à la Grande Guerre patriotique, ainsi qu'à une exposition d'art, qui est une branche de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg.
Le Kremlin de Kazan n'est pas difficile à trouver, il est situé dans le centre-ville, près de la station de métro Kremlevskaya. Ceux qui décident de se rendre au cœur de la capitale tatare par transport terrestre peuvent utiliser des bus et des trolleybus, le point de repère sera l'arrêt de la rue Bauman.
Il y a pas mal de routes qui le traversent. L'entrée sur le territoire du Kremlin est gratuite. Mais pour un billet pour chacun des musées, vous devrez payer séparément. Il est également préférable de vérifier le calendrier de leurs travaux sur le site officiel avant la visite.
Musée national de la République du Tatarstan
C'est l'un des symboles de la ville. Il est situé dans le bâtiment Gostiny Dvor, qui est un monument architectural, mais les choses les plus intéressantes attendent les invités non pas à l'extérieur, mais à l'intérieur. Son histoire a commencé il y a bien longtemps, en 1895.
Depuis lors, il a changé à plusieurs reprises de nom, d'emplacement, mais l'essence est restée inchangée – c'est le centre culturel de recherche scientifique le plus important de la République, qui est tout simplement d'une importance considérable pour les résidents locaux. Après tout, c'est ici qu'ils s'assurent que la culture tatare n'est pas seulement oubliée, mais également traitée avec soin et respect.
Il se trouve que la base de l'exposition a toujours été des collections privées. L'une des premières fut la collection personnelle d'A.F. Likhatchev, historien et archéologue bien connu.
Pendant presque toute sa vie, il a collecté des objets intéressants trouvés lors de fouilles et a finalement décidé de les rendre publics. Il est intéressant de noter qu'à ce jour, il existe non seulement avec des fonds publics, mais aussi avec l'argent de sponsors.
Il est situé dans le centre-ville, dans la maison numéro 2 de la rue Kremlevskaya, près de la station de métro du même nom. Vous pouvez vous y rendre en métro ou en bus et trolleybus – il y a suffisamment d'itinéraires ici.
Vous pouvez visiter tous les jours sauf le lundi de 10h00 à 18h00 (le vendredi, la journée de travail est plus courte d'une heure, jusqu'à 17h00).
Théâtre académique de Kazan nommé d'après Kachalov
Le théâtre académique de Kazan attire les amateurs d'art depuis des centaines d'années. Son histoire a commencé en 1791, lorsque le gouverneur local Barataev a réuni pour la première fois une petite troupe. Plus tard, il s'est considérablement développé, principalement en raison des serfs des propriétaires terriens locaux.
Depuis, beaucoup d'eau a coulé. Aujourd'hui, la troupe est composée de professionnels et fait salle comble tant à domicile qu'en tournée. Une seule chose reste inchangée.
Des discours réels sont toujours entendus depuis la scène du théâtre académique de Kazan, des questions quotidiennes et nobles sont posées ici et elles trouveront certainement une réponse. Et même à l'époque soviétique, quand on pouvait facilement se retrouver dans des endroits pas si éloignés pour avoir sa propre opinion, les gens ici n'avaient pas peur de l'exprimer.
Aujourd'hui, le répertoire du théâtre Kachalov est assez vaste. Les productions bien connues basées sur les pièces de Tchekhov et Pouchkine, ainsi que les performances basées sur des œuvres modernes, plutôt ambiguës et controversées, sont mises en scène ici. Mais néanmoins, malgré les disputes des critiques, la salle est toujours pleine. De plus, même les amateurs de théâtre de la capitale viennent ici.
Bien sûr, la plupart des représentations du Théâtre académique de Kazan sont conçues pour un public adulte. Cependant, il y a aussi plusieurs émissions pour enfants qui sont diffusées le matin.
Le berceau de l'art du Tatarstan est situé au 48, rue Bauman.
Vous pouvez vous y rendre en bus ou en trolleybus (il y a beaucoup d'itinéraires ici), l'arrêt le plus proche est Bauman Street. Les spectacles du soir commencent traditionnellement à 18h00, les spectacles pour enfants à 11h00. Les billetteries sont ouvertes de 10h00 à 19h00.
Chambre Salle Chaliapine
La salle Chaliapine, située dans le clocher de l'église de l'Épiphanie, peut être attribuée aux nouveaux sites touristiques. Cependant, en si peu de temps, il a déjà réussi à gagner en popularité auprès des fans de musique et des touristes curieux.
La salle elle-même est petite et l'atmosphère ici est créée plutôt qu'une salle de concert, mais un salon. Parallèlement, une excellente acoustique contribue au succès de chacune des représentations.
Le répertoire est en constante évolution, car non seulement des musiciens invités, mais aussi des historiens de l'art et même des écrivains se produisent sur scène. Dans la salle de chambre, il y a un petit musée consacré à la vie et à l'œuvre de F.I. Chaliapine.
La biographie de ce chanteur est très étroitement liée à Kazan, et il n'y a rien d'étonnant à ce que bon nombre de ses effets personnels aient été conservés ici. Les invités peuvent voir de leurs propres yeux le légendaire piano à queue, ainsi que des lettres, des affiches, des disques et bien plus encore.
Dans la salle, lorsqu'il n'y a pas de concerts, vous pouvez regarder des films sur Fedor Ivanovich, ainsi qu'écouter des enregistrements de ses performances. En général, malgré le fait que l'exposition occupe une petite surface, il faudra certainement beaucoup de temps pour la visiter.
La Chambre Chaliapine Hall est située sur la rue Bauman, au 78.
La station de métro la plus proche est la place Gabdulla Tukay.
Il est ouvert du mardi au samedi de 12h00 à 18h00, mais il est préférable de vérifier l'horaire des concerts juste avant la visite.
Musée littéraire et commémoratif de Gorki
Kazan est le berceau de nombreuses personnalités, dont la vie et l'œuvre de Maxime Gorki et du chanteur Fiodor Ivanovitch Chaliapine. L'exposition leur est consacrée. L'emplacement n'a pas été choisi par hasard.
À la fin du XIXe siècle, une boulangerie était située dans une maison à deux étages de l'actuelle rue Gorky, où le futur écrivain célèbre travaillait comme assistant et auxiliaire. Aujourd'hui, des intérieurs ont été recréés dans les salles, des effets personnels de Gorki et Chaliapine, ainsi que d'autres expositions liées à leur travail, y compris des lettres personnelles et des brouillons de notes, ont été collectés.
En plus de l'exposition elle-même, il y a un café littéraire Stray Dog. Des soirées créatives y sont constamment organisées, les amateurs d'art et l'intelligentsia de la ville se réunissent. De plus, les murs sont décorés avec la collection Silver Age. Il est exceptionnellement agréable de boire une tasse de café ou de dîner dans un tel environnement, même si vous ne parvenez pas à vous rendre à un concert ou à une représentation d'écrivains.
Il est situé sur la rue Gorki, au 10. Non loin de là, il y a deux arrêts de bus – la rue Gogol et le théâtre Tenchurin.
Les portes sont ouvertes tous les jours sauf le vendredi, de 10h00 à 17h00. Mais pour les événements en cours, il vaut mieux vérifier sur le site officiel. Soit dit en passant, les billets pour eux ne sont pas bon marché, car le café n'est pas trop grand et il y a traditionnellement beaucoup de gens qui veulent le visiter.
Musée Boratynski
Evgeny Abramovich Boratynsky, l'un des poètes célèbres de l'ère Pouchkine, n'est pas né à Kazan, mais la vie l'a lié, lui et ses descendants, à cette ville aux fils forts. Aujourd'hui, un musée a été ouvert dans l'aile du domaine familial de la ville, dont l'exposition est consacrée à la vie et à l'œuvre de l'une des stars de la littérature russe du XIXe siècle.
Grâce aux historiens de l'art et aux descendants d'Evgueni Abramovitch, la maison a non seulement réussi à recréer l'atmosphère, mais également à collecter de nombreux effets personnels du poète. Aujourd'hui, la collection compte plus de 4 000 000 pièces. Y compris des recueils de poèmes publiés de son vivant.
Soit dit en passant, cela peut sembler étrange à certains, mais le complexe a longtemps été basé sur l'enthousiasme, les autorités n'y ont prêté attention qu'au début des années 90. Auparavant, l'exposition était située dans le bureau le plus ordinaire de l'école municipale n ° 34.
Bien sûr, la plupart des stands sont dédiés à Evgeny Abramovich. Cependant, parmi eux, il y a ceux qui mentionnent et parlent de ses amis – A.S. Pouchkine et A. Dalvige. Leurs œuvres se retrouvent également dans des expositions.
Dans les salles spacieuses, des soirées créatives sont périodiquement organisées, ainsi que des lectures littéraires annuelles. Les visiter est un grand succès, surtout pour ceux qui se considèrent comme des admirateurs de la littérature.
Il est situé rue Maxim Gorki, 25/28.
Vous pouvez vous y rendre en bus, en trolleybus ou en tram, l'arrêt le plus proche est la rue Tolstoï. Les portes sont ouvertes du lundi au samedi de 10h00 à 17h00.
Musée des Beaux-Arts de la République du Tatarstan
L'une des plus grandes collections de peintures de notre pays. Il est situé dans un manoir luxueux qui appartenait autrefois au commandant des troupes du district de Kazan et attire même ceux qui sont complètement indifférents aux délices artistiques.
Ici, vous pourrez vous familiariser avec les œuvres d'artistes européens et russes des XVIe au XIXe siècles, ainsi qu'avec les maîtres du pinceau de l'ère soviétique. Une place d'hôtel est occupée par des peintures réalisées par des auteurs tatars et dédiées aux traditions nationales de la République.
De plus, c'est la seule exposition dans notre pays où vous pouvez étudier en détail le travail de N.I. Fechin. Soit dit en passant, des spécialistes de tout le pays viennent souvent ici pour cela. Pride est une collection d'icônes qui ont autrefois été retirées des cathédrales de Sviyazhsk et qui sont toujours là.
En plus de l'exposition principale, il y a un clocher, qui vaut vraiment la peine d'être grimpé au moins pour regarder Kazan à vol d'oiseau et admirer sa beauté.
Il est situé dans la partie centrale de la ville, rue Karl Marx, 64.
L'exposition est ouverte tous les jours sauf le lundi de 10h00 à 17h45 (le samedi – jusqu'à 16h45, le vendredi de 12h00 à 21h00).
Appartement-musée de Musa Jalil
Parmi les Tatars, Musa Jalil n'est pas seulement un écrivain, mais un véritable héros national. Après tout, il a contribué au développement de la culture nationale, et pas seulement sur le territoire de la République, mais dans toute l'Union soviétique. Malgré le fait qu'il soit né non pas à Kazan, mais sur le territoire de la province d'Orenbourg, sa vie était principalement liée à cette ville.
Il n'est pas étonnant qu'ils aient décidé de perpétuer sa mémoire en ouvrant un musée personnalisé. Il se compose de deux appartements séparés, dont l'un est un mémorial, le second est utilisé comme salle d'exposition, où sont exposés des livres et des effets personnels de l'écrivain.
Une fois par an, le 15 février, un jour férié a lieu – le Jour de l'Original. Les visiteurs ont une chance unique de voir les célèbres “Cahiers Moabit”, qui ont été écrits pendant leur séjour sous l'occupation fasciste.
De plus, il y a un petit salon littéraire, où se tiennent régulièrement des réunions d'admirateurs de l'œuvre de Musa Jalil, et de jeunes auteurs tatars présentent leurs œuvres. Pour les plus jeunes, il y a une exposition interactive “Visiting Musa”. Il ne s'agit pas d'une simple excursion, mais d'un véritable voyage dans le monde de la littérature nationale.
Il est situé rue Gorkogo, maison 17.
Vous pouvez vous y rendre en métro. La gare la plus proche est la place Gabdulla Tukay.
Les portes sont ouvertes tous les jours sauf le dimanche, de 10h00 à 17h00.
Musée de l'appartement Sharif Kamal
Sharif Kamaletdinovich Kamal est un célèbre écrivain et personnage public tatar. Il fut le premier écrivain de la République, en l'honneur duquel un musée personnalisé fut ouvert en 1950.
Ce qui, en général, n'est pas accidentel, car les œuvres de Kamal sont pratiquement un livre de référence pour tous ceux qui aiment la littérature tatare. Outre les œuvres de l'auteur, qui ont soulevé d'importantes questions sociales, parmi ses mérites figure la traduction de Virgin Soil Upturned de Sholokhov, l'une des premières et des plus réussies.
Il a été l'un des premiers dans la république à parler du fait qu'être riche n'est pas si bon et que les femmes ont les mêmes droits que les hommes. L'appartement de l'écrivain se compose de deux pièces – une salle commémorative, dans laquelle le mobilier et l'intérieur sont recréés.
Les invités peuvent non seulement se familiariser avec le travail et la vie de Kamal, mais aussi se faire une idée de la vie de l'intelligentsia tatare dans la première moitié du XXe siècle. La deuxième salle est un salon créatif, où se tiennent encore aujourd'hui des soirées littéraires, des rencontres et des lectures.
Y compris pour les étudiants. Les derniers employés sont particulièrement attentifs et essaient de rendre chaque visite non seulement informative, mais aussi passionnante.
Situé rue Ostrovskogo, 15.
S'y rendre n'est pas si facile – depuis la station de métro Gabdulla Tukay Square, vous devrez vous promener dans les rues.
Il fonctionne du lundi au samedi de 10h00 à 17h00. Vous devrez payer un supplément pour le guide touristique.
Musée de Constantin Vassiliev
Konstantin Vasiliev est l'un des artistes soviétiques qui n'a pas été reconnu de son vivant. Les sujets sur lesquels il écrivait n'étaient pas très populaires à cette époque, représentant des héros épiques, des personnages de contes de fées et des créatures mythologiques sur des toiles.
La gloire et la renommée de son travail acquises après la mort de l'auteur. Aujourd'hui, la plupart d'entre eux, plus de 150, sont rassemblés dans la collection du Musée de Kazan, ouvert en 2013. Bien qu'en fait il soit apparu beaucoup plus tôt, dans les années 90. Mais il était situé loin du centre et n'attirait pas trop les touristes.
Aujourd'hui, le complexe se compose de cinq salles spacieuses, dont les intérieurs sont décorés dans un style minimaliste. Après tout, selon les historiens de l'art et les connaisseurs de la peinture, les œuvres de Vasiliev nécessitent une attention particulière et rien ne doit les distraire.
Soit dit en passant, le réalisateur était un ami de l'artiste et le rencontrer aujourd'hui dans l'un des couloirs est un véritable succès. Malgré sa position élevée, il est heureux de communiquer avec les visiteurs et de parler de la vie de l'auteur des peintures.
En plus de l'exposition, qui attire les touristes, il existe sa propre base d'art, où sont organisés des cours pour un cercle d'art pour les écoliers. Il est situé au centre, rue Bauman 29/11.
Vous pouvez vous y rendre à pied depuis la station de métro Kremlevskaya.
Heures d'ouverture de 10h00 à 18h00, le lundi est un jour de congé.
Musée Tukay
Le nom de Gabdulla Tukay se retrouve assez souvent à Kazan – une station de métro, une rue, un théâtre et bien plus encore portent son nom. Les critiques littéraires locaux mettent son nom sur un pied d'égalité avec A.S. Pouchkine et M.Yu. Lermontov. En effet, c'est Tukay qui est considéré comme le fondateur de la langue tatare et de la littérature nationale.
Il n'est pas surprenant que l'exposition qui lui est consacrée soit située dans l'une des demeures les plus luxueuses de la colonie des vieux tatars. Soit dit en passant, une des expositions lui est consacrée, dans laquelle sont présentés des objets de la vie tatare. Mais encore, les principales expositions sont les effets personnels de Gabdulla Tukay, des collections de ses œuvres publiées de son vivant et après sa mort. Ici aussi, vous pouvez voir le masque mortuaire de l'écrivain.
Dans une autre salle d'exposition, les invités ont la possibilité de se familiariser avec la vie sociale et culturelle de Kazan à la fin du 19e – début du 20e siècle. De plus, vous pouvez regarder dans la salle de conférence, où se tiennent périodiquement des événements scientifiques importants et des réunions créatives, ainsi qu'une petite librairie.
Il existe également deux clubs à la fois – dans l'un, des professeurs de langue et de littérature tatares sont engagés, dans l'autre – tous ceux qui souhaitent étudier sa sagesse et ses traditions nationales. Il est situé sur la rue Tukay, dans la maison 74. Juste en face de l'entrée, il y a un arrêt de transport en commun – Cinéma nommé d'après G. Tukay.
L'exposition est ouverte du mardi au dimanche de 10h00 à 17h00.
Musée Saidasheva
Au Tatarstan, ils sont très sensibles à tout ce qui touche à la culture, aux coutumes et aux traditions locales. Il n'est pas surprenant que le compositeur Salih Saidashev, considéré comme le fondateur de la musique folklorique tatare, soit vénéré autant que Mozart dans sa patrie, la Salzbourg autrichienne.
Le musée consacré à la vie et à l'œuvre du compositeur a rassemblé un grand nombre d'expositions liées à lui. Ce sont les notes sur lesquelles le maestro a joué, des photographies, des effets personnels, des meubles de sa maison et, bien sûr, des instruments de musique. Il y a même un masque mortuaire ici – peu de personnes célèbres sont honorées d'un tel honneur.
Les guides locaux sont enthousiastes et respectueux. Je salue cordialement chaque groupe et l'histoire s'avère plus vitale qu'officielle. Ce qui ne peut que réjouir les touristes.
En plus de la salle d'exposition, il y a un salon où des soirées et des concerts sont régulièrement organisés. Les connaisseurs d'art viennent ici de la capitale elle-même pour partager leurs opinions et écouter les musiciens tatars contemporains.
Il est situé au 13 rue Gorkogo, non loin de la station de métro Gabdulla Tukay Square.
Vous pouvez y entrer n'importe quel jour sauf le lundi, de 10h00 à 17h00.
Musée de l'histoire de la cathédrale de l'Annonciation
La nouvelle institution d'État est située dans le plus ancien monument de l'orthodoxie à Kazan. Il est inclus dans un petit nombre de musées dans le monde, travaillant au temple. Des expositions intéressantes ont un double effet sur une personne dans ce lieu saint.
Ils l'enrichissent spirituellement, remplissent l'âme de valeurs particulières. Les expositions présentent plus de 100 objets, éléments d'œuvres d'art, documents liés à l'histoire de l'Église orthodoxe, du XVIe siècle à nos jours.
Il est intéressant de considérer les livres orthodoxes, les icônes réalisées dans différents styles, les vieilles photographies de monuments qui ornaient la ville pré-révolutionnaire. Le personnel du premier archevêque de Kazan est conservé ici. Sviyazhsky Gury Kazan Wonderworker était l'un des saints les plus vénérés de Russie. On peut voir l'exemplaire original du carrosse présenté à Catherine II en 1767.
Les expositions sont réalisées à l'aide de technologies modernes et permettent de regarder des films orthodoxes. Regardez dans n'importe quel coin de la cathédrale et admirez ses peintures murales à l'aide d'un kiosque électronique. Vous pouvez même apprendre à écrire des images en écriture ancienne en assistant à la classe de maître “Ancienne calligraphie russe”.
Musée d'histoire naturelle du Tatarstan
L'intérêt pour l'émergence de notre planète de ses montagnes, ses océans, ses volcans augmente avec l'avènement de nouveaux instruments, méthodes de recherche. Peu à peu, les entrailles de la terre dévoilent leurs secrets.
Les découvertes scientifiques confirment de nombreux moments intéressants de sa vie. Devant nous apparaissent les squelettes de mammouths vraiment errants, de dinosaures, d'ours des cavernes, de rhinocéros laineux, d'énormes animaux marins. De nouveaux minéraux sont découverts, éléments du tableau périodique, nés lors d'éruptions volcaniques.
Des informations sur les processus géologiques de la planète sont proposées depuis 2006 au Musée d'histoire naturelle du Tatarstan (le seul centre scientifique et pédagogique de ce type dans la région de la Volga). De nouveaux artefacts apparaissent ici chaque année.
Ils proviennent d'expéditions paléontologiques et minéralogiques. Les premières expositions ont été organisées à partir des matériaux de Stukenberg, extraits de l'Université de Kazan.
La connaissance des expositions se déroule sous une forme interactive traditionnelle et moderne. Il est proposé de communiquer avec les habitants de l'ère glaciaire, de marcher à côté d'un immense lézard, de nourrir des poissons préhistoriques dans un aquarium. Observez des planètes lointaines avec un télescope interactif.
Participez aux fouilles en vous faisant passer pour un paléontologue. Découvrez les secrets de l'apparition de l'homme sur terre.
“Maison Michkine”
Cette bête gentille et joyeuse a accompagné l'enfance de tous les enfants. Les ours blancs et jaunes, grands et petits en bois, en plastique, en peluche douce (et même remplis de sciure de bois) étaient les favoris de la famille, les meilleurs amis des enfants. Pour se souvenir de ces moments, montrer des jouets uniques aux enfants et petits-enfants est proposé dans le musée original situé dans le centre.
Environ 300 ours différents se sont installés dans une maison en rondins, dans un endroit précis, faisant leurs choses habituelles. Quelqu'un vole dans un ballon, joue de la balalaïka, scie du bois de chauffage, boit du thé avec du miel, et l'ours le plus paresseux dans un vêtement tricoté à rayures est allongé dans un hamac.
Chaque ours a sa propre histoire avec un entourage correspondant. Il est proposé de prendre connaissance de celui-ci à l'entrée de la maison. Une atmosphère chaleureuse d'un véritable foyer avec des grands-parents, des chats et des chiens est créée.
Un énorme ours accueille les invités de sa maison et vous invite à vous plonger dans l'atmosphère de la magie des enfants. Les créateurs de personnages préférés sont des étudiants de l'école de théâtre et d'art de Kazan.
Leurs idées sont réalisées non seulement par les éléments d'expositions intéressantes, mais aussi au moyen d'un jeu passionnant. Les enfants résolvent des énigmes, accomplissent des tâches. Ils participent à des attractions près d'un véritable repaire, font des voeux sous l'arbre du Sorcier.
Musée de la culture islamique
L'étude de l'histoire de l'apparition, de la naissance des traditions de la culture islamique dans la région de la Volga est une tâche importante et intéressante. L'islam est célèbre pour son riche système de méthodes éducatives, qui a influencé la formation de la nation du Tatarstan. Il est proposé d'apprendre les moments particuliers de son développement dans une institution située dans la mosquée Kud Sharif.
Voici des expositions, des collections liées à l'histoire de la civilisation musulmane. Ils sont unis dans trois directions principales “Culture du livre du peuple tatar”, “Islam de l'ère du réformisme à la période moderne”, “Civilisation musulmane de la région de la Volga: du bulgare à Kazan”.
Une exposition interactive avec des éléments multimédias a été conçue. Parmi eux se trouvent la “Fenêtre interactive dans le “Cabinet de l'Enlightener” avec vue sur le vieux Kazan, la reconstruction de l'architecture du “Kremlin de Kazan” en 3D, “Scrolling Koran”.
La dernière phrase est considérée comme l'exposition centrale des expositions. Le Coran a été publié en 1803 et est la première édition en arabe produite par des musulmans.
Lors des excursions, il est proposé de se familiariser avec le fac-similé des manuscrits uniques du Livre Saint, d'entendre le son des sourates du Coran. Il s'agit de la seule archive unique de documents du monde islamique des peuples turco-tatares en Russie.
Maison-musée de V.I. Lénine
La vie des Oulianov est liée au séjour en ville. Le père de Vladimir a étudié à l'université ici et a obtenu son diplôme avec mention. Selon la tradition établie, ils venaient tous ensemble ici chaque année et, en 1888, ils s'installèrent dans la maison des Orlov.
C'était un manoir en bois de deux étages avec un balcon confortable et entouré d'un petit jardin. Le bâtiment est un bâtiment typique d'une maison de ville de la seconde moitié du XIXe siècle, dans laquelle vivait l'intelligentsia russe.
Malgré le fait que la famille ait vécu ici pendant environ un an, l'étape de formation des opinions politiques du futur dirigeant est passée dans cette maison (il est devenu un partisan des positions des marxistes). En novembre 1937, l'un des premiers musées de la capitale consacré à la vie de V.I. Lénine a été ouvert dans la maison.
Dans les lieux, l'atmosphère ancienne de la vie de famille a été entièrement préservée. Elle raconte surtout les conditions de formation de la personnalité d'un leader aux vues révolutionnaires.
Les collections contiennent des documents authentiques, des photographies, des livres, de nombreuses photocopies démontrant les événements historiques de l'époque. De nombreux documents révèlent des pages intéressantes de sa biographie.
Sur leur base, des guides, des brochures ont été publiés, des expositions ont été formées à Kokushkino, où Lénine était en exil pour avoir participé à un rassemblement révolutionnaire étudiant en 1887.
Maison-Musée de E. A. Boratynsky
L'ère de Pouchkine est célèbre pour un grand nombre de noms qui sont entrés dans l'histoire de la littérature, de l'art et des découvertes scientifiques. Parmi eux, le nom du poète se distingue comme une étoile brillante: le maître des paroles philosophiques, l'élégie d'E. A. Boratynsky.
Malgré le fait que le poète a passé la majeure partie de sa vie à Saint-Pétersbourg, Kazan était pour lui une petite patrie, le lieu de vie de ses ancêtres. Plusieurs générations du poète ont vécu à Kazan et ses environs (provinces des XIXe-XXe siècles). Il venait souvent ici.
Il est devenu possible de visiter l'ancien manoir de la ville, de se familiariser avec des documents d'archives témoignant de la vie du grand poète, depuis mars 1977. Il y a plus de 4 000 pièces ici, transférées des archives familiales des parents du poète vivant dans différentes villes et pays.
Au cours des excursions, il est proposé de voir les choses commémoratives du poète, des documents, des photographies, des éditions rares des siècles précédents. Parmi eux, il y a un portrait unique de Léon Tolstoï, peint de son vivant, un portrait à vie d'Irakli Boratynsky.
Le frère cadet du poète était le gouverneur de Kazan. Un bureau a été conservé dans l'une des chambres. Les légendes familiales confirment que Pouchkine a déjà travaillé pour lui. Il est intéressant de regarder un album de famille unique contenant une centaine de photographies prises à la fin du XIXe siècle.
La liste des objets de valeur spéciale comprend les objets commémoratifs d'A. Delvig, les photographies de Kazem-Bek. Ils capturent des vues rares de Kazan, les visages des résidents locaux. Adresse du domaine : rue Gorkogo, 25/28.
Musée de Kayum Nasyri
L'histoire du pays, le lien avec les générations d'ancêtres est principalement déterminé par la préservation de la langue dans laquelle ils communiquaient. La plus grande mission sociale de la langue est de transmettre les connaissances, l'expérience accumulée par l'humanité.
Il reflète la vision du monde des générations, leurs traditions, leurs réalisations dans le domaine de l'art et de la littérature. Avec son aide (ce n'est pas pour rien que la langue est appelée le «miroir de l'âme humaine»), les traits du peuple, du pays s'expriment.
Les bases de la langue littéraire du Tatarstan ont été posées par le scientifique (linguiste, ethnographe, écrivain, historien) Kayum Nasyri. Un scientifique célèbre a vécu dans la maison, qui est un monument de l'architecture en bois du XIXe siècle. La maison a été reconstruite en 2002 (c'est une copie exacte de l'ancien bâtiment).
Le bureau du scientifique a été restauré, des expositions intéressantes ont été créées à partir d'éléments d'ateliers de métallurgie, de menuiserie et de reliure. Le scientifique aimait faire du travail appliqué. De nombreux “conseils” dans ses activités ont été apportés lors de voyages dans les villages tatars de l'ancien district de Sviyazhsk.
La liste des objets exposés comprend des objets personnels (canne, coffre, sceau personnel, montre – chronomètre). Des photographies, des manuels (une médersa sur la logique, réécrite par un scientifique, marquée de sa signature), un immense matériel ethnographique ramené de voyages.
De nombreux exemples d'art populaire (poèmes, chansons, légendes) sont présentés parmi les éléments des expositions. Sur la base des matériaux du livre du scientifique “Flowers and Herbs”, un beau jardin a été cultivé autour de la maison. Il accueille souvent des cours pour les écoliers sur l'étude des plantes médicinales de la région. Le domaine est situé à: st. Commune de Paris, 35.
Musée des illusions et maison du géant
En mai 2015, un complexe de divertissement moderne a été ouvert dans la rue piétonne principale Bauman, 17 (presque l'ancien Arbat à Moscou). Une exposition-attraction originale est installée sur deux étages du bâtiment.
Dans une partie de celui-ci se trouve une galerie de peintures 3D. Chaque participant est invité à faire ses preuves dans un certain élément de l'intrigue: être dans un aquarium avec des requins, des méduses, des piranhas. Survolez les abysses, apprenez tout sur le chaudron infernal.
Retrouvez-vous sur le pont du Titanic, devenez l'un des monstres d'un film d'horreur hollywoodien, le héros de vos dessins animés préférés. La principale différence entre les manèges est la possibilité de prendre des photos uniques sans traitement informatique. Des experts vous aideront à choisir le meilleur angle, à prendre des photos.
La deuxième partie de l'ensemble est un retour unique au monde de l'enfance. Les géants vivent ici parmi d'énormes meubles et effets personnels. Même leur déjeuner a des dimensions comparables à un placard ordinaire, et il est proposé de monter sur une chaise à l'aide d'une échelle. Tout participant devient un personnage dans un conte de fées inhabituel.
Maison-musée de Vasily Aksyonov
Les années d'enfance de l'écrivain Aksenov se sont déroulées dans un domaine urbain situé au centre de Kazan. Depuis 1930, il est devenu un lieu de résidence pour de nombreux citoyens (communaux), y compris pour les proches de l'écrivain après l'arrestation de ses parents.
Il a vécu ici pendant plus de 10 ans et avant sa mort a exprimé le désir de créer un complexe dans le domaine à partir d'un bureau commémoratif, d'un café, d'un salon littéraire et musical. Après la restauration du domaine en 2009, ses souhaits ont été exaucés.
L'ouverture du complexe a eu lieu lors du festival de musique Aksenov-fest avec la participation du groupe de rock Time Machine. Son fils était présent à la célébration et a présenté la machine à écrire “Hummingbird” de son père. Les expositions contiennent des objets personnels, des cahiers de l'écrivain.
L'ancien domaine abrite un musée, un petit hôtel, Jazz Crossroads, et un restaurant chaleureux. Le nom de l'hôtel a été choisi en tenant compte de l'attitude particulière de l'écrivain envers le jazz. La salle confortable accueille souvent des soirées créatives, des rencontres de jeunes écrivains et des concerts de musique.
Musée du 1000e anniversaire de Kazan
Le Centre culturel national de Kazan comprend plusieurs institutions publiques indépendantes. Parmi eux se trouve un musée ouvert en l'honneur du 1000e anniversaire de la ville. Ses expositions reflètent les événements du passé historique de Kazan, son patrimoine culturel.
Trois salles thématiques représentent tous les aspects de la vie du peuple tatar de la période antique à nos jours. La première salle s'appelle “Ancient Kazan” et contient des éléments d'expositions du 1er millénaire avant JC au 15ème siècle.
Parmi les expositions originales, il y a des monuments restaurés: la porte de Kazan (l'ancien symbole de la ville), la clé de la ville (faite par analogie avec la clé de la Volga Bulgarie), une copie de l'exposition unique “Kazan's Cap”. Les expositions de la deuxième tâche couvrent la période allant du XVe siècle au début du XXe.
Ils contiennent des documents, des artefacts, révélant le commerce, l'économie, le développement spirituel de la capitale de la province, qui est devenue une partie de la Russie. Les expositions de la troisième salle sont consacrées à la République du Tatarstan (1991-2019) en tant que centre majeur de la région de la Volga, toute la Russie. Le fonds général est composé de 49412 parts.
Il est représenté par des expositions: le Khanat de Kazan, la Volga Bulgarie, la Prise de Kazan, la Horde d'Or, Kazan aujourd'hui et demain, etc. Une exposition distincte est consacrée aux matériaux liés à la visite historique de la ville par les anciens dirigeants: Pierre I, Paul I et Nicolas I, Catherine II.
Dans la branche de l'institution (l'hôtel de ville de Kazan), il y a des documents racontant l'histoire de l'autonomie de la ville.
Le mode de vie pendant l'Union soviétique n'a pas encore été perdu dans la jungle historique du Tatarstan. Des milliers de souvenirs, véritables éléments de la vie quotidienne vivent dans les récits de témoins oculaires, la littérature thématique. Les choses, l'esprit des années 70 et 80 du XXe siècle, qui vivaient dans un grand pays, sont présentées dans le seul endroit unique en Russie.
L'idée d'organiser une «collection d'émotions positives» appartient à Rustem Valiakhmetov pendant les années de l'effondrement de l'Union soviétique. Chaque élément d'expositions intéressantes évoque des souvenirs nostalgiques.
Je voudrais me souvenir de beaux emballages (par exemple, «fleur de pierre»), de l'odeur familière du parfum, d'allumer un vieil aspirateur, de regarder l'écran de l'ancien téléviseur, d'essayer des vêtements. Désormais, seuls les éléments des jeux informatiques peuvent ressembler à l'ancien intérieur.
Les expositions se composent de 7 000 pièces. La connaissance d'eux commence par les escaliers, où se trouvait autrefois un fumoir pour les résidents d'un appartement commun dans une maison de la rue Universitetskaya.
Après leur expulsion, la première exposition fut une exposition intitulée “Mauvaises habitudes en URSS” (montrant des paquets de cigarettes, des cigarettes, de vraies bouteilles d'alcool). En regardant les expositions, il est difficile de croire qu'il s'agissait encore récemment d'éléments de «réalisations, de technologie», des éléments rares dont le pays vivait.
Musée Chuck-Chuck
Il est difficile d'imaginer les traditions de vie du peuple tatar sans un thé national. Jusqu'à présent, tous les secrets de sa préparation sont inconnus. Vous pouvez apprendre quelques détails du processus, essayer une boisson curative, écouter son histoire dans la maison du marchand Vafa Bigaev (un monument architectural du début du XIXe siècle).
Sur la base des documents et photographies survivants, l'ancien intérieur a été recréé, les éléments de la vie quotidienne (outils, vêtements) d'une famille tatare prospère ont été présentés. Tout est permis d'être touché, examiné de tous les côtés.
La boutique du musée propose d'acheter et de déguster du chak-chak, du baursak, des douceurs nationales et quelques autres plats préparés selon d'anciennes recettes. Au cours de la visite, des informations sont fournies sur les différentes périodes de la vie de la population du Tatarstan, sur la base des recherches de scientifiques – encyclopédistes du pays.
Au cours des travaux de l'institution, elle a reçu des prix dans de nombreux concours républicains, panrusses et internationaux.
Musée de l'enfance heureuse
Le thème des souvenirs du passé soviétique se reflète dans les murs de nombreux sites de la ville. Ce n'est pas seulement le reflet de la vie d'un adulte, mais aussi de nombreux aspects de la vie des enfants, des méthodes de leur éducation.
Son élément principal a toujours été les jouets, les jeux à thème et la littérature pour enfants. Ce n'est que dans la mémoire d'une personne que vivent de vieux bureaux couverts d'inscriptions, d'amorces, de globes bleus, de portraits obligatoires, de bustes de Lénine (maintenant ces attributs de la vie représentent d'autres noms, d'autres visages).
Vous pouvez regarder longtemps les abaques, les anciens appareils informatiques, les certificats, les cravates, les badges, les fanions des années passées. Comme si vous reveniez sur les murs de votre ancienne école (ici, vous avez le droit de toucher à n'importe quelle exposition). Au deuxième étage, il y a une exposition “le labyrinthe de la vie”. Dans chaque pièce, il y a des choses qui accompagnent une personne tout au long de sa vie.
Les premiers modèles de voitures en fer (le rêve de tout garçon soviétique). Animaux en caoutchouc, couture miniature, machines à tricoter, nombreuses options pour les poupées vintage (elles ne ressemblent pas aux Barbies modernes). Des centaines de jouets de l'époque soviétique.
Dans l'une des salles se trouvent des échantillons des anciens uniformes scolaires (mallettes, costumes, robes, tabliers). Un jour, les jouets et les vêtements d'aujourd'hui seront des raretés de musée, venant d'une période d'enfance heureuse de tout temps.
Musée-Mémorial de la Grande Guerre Patriotique
Les actions et le patriotisme du peuple soviétique pendant la Grande Guerre patriotique restent frais dans la mémoire des gens. Les tombes des soldats morts ne sont pas encore envahies par la végétation, les formidables structures militaires construites pendant la période de guerre n'ont pas disparu.
La mémoire des descendants reconnaissants vivant dans les pays libres de l'ex-Union soviétique se reflète dans de nombreuses expositions et expositions. À Kazan, un tel lieu historique est un complexe commémoratif de l'ancien Kremlin.
Les expositions s'appuyaient sur des documents fournis par le Musée national, l'organisation des vétérans, les services de recherche militaire et les archives personnelles. Parmi eux, il est proposé de regarder des armes, des uniformes, du matériel militaire, des bannières régimentaires, des dessins d'artistes du front. Tablettes d'officiers, cartes, boussoles, ordres, médailles, documents importants.
À l'aide du langage des reliques de première ligne, on peut ressentir l'exploit de soldats ordinaires allant à la mort, défendant leur patrie. La liste des objets exposés comprend des objets apportés des champs de bataille: des fusils, un canon antichar de 37 mm, des uniformes de généraux, des officiers de l'Armée rouge, des armes ennemies capturées.
Chaque année, le complexe commémoratif accueille des événements solennels dédiés à la victoire dans la guerre.
Musée des Armes Esprit du Guerrier
En regardant les fusées modernes, les avions, les équipements verts avec un but qui n'est pas immédiatement compris, il est faux de croire qu'autrefois les soldats disposaient d'une arme complètement différente. Ils ont déterminé l'ambiance, l'esprit d'un guerrier, ont aidé à gagner.
Du fond des siècles de la vie du peuple tatar sont venus les éléments d'une vaste collection d'armes: offensives, défensives. Des lames de sabre étincelantes, des épées fabriquées à l'âge du bronze, l'ère de la Horde d'Or. Épées appartenant aux Scythes, Sarmates, Huns, Cimmériens. Il est proposé d'écouter leurs traits lors d'une excursion intéressante.
Sur les stands d'exposition, il y a des sabres de différents siècles, comme symbole du développement des idées d'armes. L'information «où, par qui et quand ils ont été utilisés» est présentée. Bouclier, casque, sabre, épée sont autorisés à toucher, à utiliser pendant le tournage.
Il est proposé de se reposer sur le trône du Khan, recouvert de peaux d'animaux sauvages, comme il y a des milliers d'années. Pas la guerre, mais l'esprit d'un guerrier, contrôlé par l'esprit, vous permet d'éviter les hostilités, de vaincre les dangers inattendus.
En témoigne une décoration originale en forme de bateau planant sous le plafond. Ils sont percés de flèches et symbolisent les dangers qui guettent les voyageurs. La connaissance, la capacité à manier les armes rendront tout voyage sûr.
L'exposition est située sur le territoire du Kremlin de Kazan.
Musée d'histoire de l'Université de Kazan
En 1979, la célèbre université de Kazan a célébré son 175e anniversaire. Dans son développement, il est passé du statut d'impérial à celui de centre éducatif d'importance fédérale. Au cours des 200 ans d'histoire, les scientifiques ont grandi sur la base de l'université, dont les noms sont devenus connus dans le monde entier.
Des écoles scientifiques ont été formées avec des chercheurs exceptionnels qui ont donné à l'humanité de nombreuses découvertes. Les futurs hommes d'État, scientifiques, représentants de l'art, de la littérature et du sport ont étudié et travaillé à l'université. Parmi eux figurent les noms d'Arbuzov, Léon Tolstoï, Aksakov, Lobachevsky, Butlerov, etc.
Le père de Lénine était un étudiant universitaire (diplômé avec mention). Les expositions réussies reflètent le rôle des étudiants et des enseignants dans la vie politique de la Russie. Le complexe commémoratif est situé dans le bâtiment principal de KFU. Il comprend la salle impériale et un auditorium pour les conférences.
L'intérieur des XIXe et XXe siècles y a été conservé. Lénine et Tolstoï ont étudié ici. Tous les événements étudiants avaient traditionnellement lieu dans la salle impériale. C'est maintenant l'un des endroits préférés de la ville avec une excellente acoustique pour les festivals de musique et les concerts.
Galerie-atelier de Slava Zaitsev
Dans une petite salle d'une galerie privée, il n'y a pas de chefs-d'œuvre de maîtres de la peinture, du graphisme, de la sculpture. Les peintures étonnantes ne sont pas peintes à la détrempe, à l'huile, à l'aquarelle, mais les visiteurs ont une impression particulière, surprise de leur apparence. Le nombre total d'œuvres est de 100 unités.
L'espace d'exposition occupe 126 m2.Le talentueux artiste de Kazan, Slava Zaitsev, s'est trouvé une direction artistique rare, il a défini son propre style. Pour peindre des tableaux, il utilise de nombreux matériaux improvisés: clous, fil, pinces à meubles, sable, feuilles, ailes de papillon, etc.
L'artiste réalise ses premiers travaux dans le style “collage” au détriment des peintures de magazines. En regardant les images à partir d'agrafes, obtenues en les enfonçant dans le tableau, il semble qu'elles aient été réalisées avec des crayons ordinaires.
Dans une salle, il y a une galerie et l'atelier de l'artiste, une collection de plantes rares recueillies par Zaitsev. Il rencontre lui-même les invités (avec un perroquet qui parle), raconte, exécute des travaux en leur présence, organise des master classes. La galerie est située en centre-ville, sur le parvis.
Musée anti-alcool Moonshine
Une boisson alcoolisée est obtenue en distillant de la purée (distillation artisanale) grâce à des dispositifs spéciaux (fait maison, en usine). Pour obtenir de la purée, divers produits contenant du sucre ont été utilisés: céréales, betteraves, fruits, pommes de terre.
Contrairement au moonshine, la vodka est fabriquée à partir d'alcool rectifié. Un produit commun est devenu l'un des éléments les plus populaires de la vie quotidienne chez différents peuples (“rakia” en Bulgarie, “garelka” en Biélorussie, “palinka” en Hongrie, “bimber” en Pologne, etc.). Il existe de nombreuses traditions de fabrication et d'utilisation.
En tant que “monnaie”, il est encore utilisé aujourd'hui. Moonshine occupe une place importante dans l'histoire de la vie russe. Il est impossible d'imaginer des fêtes foraines (Saratov, Makaryev, Nizhny Novgorod), les grandes villes de la région de la Volga sans la présence de clair de lune.
En savoir plus sur la boisson populaire, voir les articles ménagers qui accompagnent sa production, son utilisation est proposée dans les expositions du musée d'origine. Ils sont créés sur la base de 10 000 éléments. Ils ont été apportés de collections privées, trouvées dans les anciens centres de clair de lune.
Des alambics Moonshine, des verres, des bouteilles, des verres, des ustensiles de cuisine des siècles passés sont situés dans des pièces à l'intérieur ancien. Certains murs sont recouverts de journaux, de coupures de magazines et de vieux papiers peints. Ils sont recouverts de tapis faits à la main.
Au cours de la visite, il est proposé d'écouter l'histoire de l'apparition du clair de lune, de découvrir l'origine d'expressions célèbres: «remplissez vos yeux », «marchez sous une mouche », «5 gouttes », «buvez en enfer ». D'où vient la tradition de «casser la vaisselle pour porter chance », «ne pas laisser de bouteilles vides sur la table », «boire debout pour les dames» ?
A la fin de la visite, il est proposé de participer à une dégustation de cinq variétés de moonshine.
L'établissement est situé sur la rue principale Bauman.